Frankenstein DVD (The Royal Ballet)

Malgré quelques errances dans la chorégraphie, car jeme questionnais sur l’à propos des infirmières-servantes dansant avec des putes et les étudiants en médecine où ils se libéraient de la tension de leur maître en anatomie, interprété magistralement par Thomas Whitehead…. J’ai à peine remarqué la musique, tant les images sont fortes et sombres. Les effets spéciaux sont époustouflants. Le jeune Guillem Cabrera Espinach qui incarne le petit frère de Victor Frankenstein promet d’aller loin.
Bien sûr « la créature » est laide et affreuse, mais je dois rendre justice à ce magnifique danseur athlète qu’est Steven McRae qui respecte son personnage torturé par la jalousie, et le sentiment de rejet. Je suis cependant restée sur ma faim quant à sa relation avec son créateur. J’aurais aussi aimé que Liam Scarlett visite les vies des personnes dont Victor a choisi les membres, le cervelet, le cœur, pour construire « la créature ».
Une fois les morceaux assemblées, les dés étaient jetés. C’était un défi lancé à Dieu par Victor. Ça ne pouvait que mal se terminer. Donc prenons bien garde à l’orgueil et à l’électricité. 😊 Deux ingrédients à ne pas mélanger. Malgré mes déceptions, je crois que ce genre de ballet inspiré par un conte fantastique d’horreur peut s’inscrire comme un classique si on revisite certains passages qui m’ont semblée plus faibles.

Les danseurs sont parfaits, malgré quelques errances dans la chorégraphie où je me questionnais sur l’à propos des infirmières-servantes dansant avec des putes et les étudiants en médecine où ils se libéraient de la tension de leur maître en anatomie, interprété magistralement par Thomas Whitehead…. J’ai à peine remarqué la musique, tant les images sont fortes et sombres. Les effets spéciaux sont époustouflants. Le jeune Guillem Cabrera Espinach qui incarne le petit frère de Victor Frankenstein promet d’aller loin.
Bien sûr « la créature » est laide et affreuse, mais je dois rendre justice à ce magnifique danseur athlète qu’est Steven McRae qui respecte son personnage torturé par la jalousie, et le sentiment de rejet. Je suis cependant restée sur ma faim quant à sa relation avec son créateur. J’aurais aimé que Liam Scarlett visite les vies des personnes dont Victor a choisi les membres, le cervelet, le cœur, pour construire « la créature ».
Une fois les morceaux assemblées, les dés étaient jetés. C’était un défi lancé à Dieu par Victor. Ça ne pouvait que mal se terminer. Donc prenons bien garde à l’orgueil et à l’électricité. 😊 Deux ingrédients à ne pas mélanger. Malgré mes déceptions, je crois que ce genre de ballet inspiré par un conte fantastique d’horreur peut s’inscrire comme un classique si on revisite certains passages qui m’ont semblée plus faibles.

The first time I saw this I was scared to death. By the third time I was ok. It is a very powerful ballet, expertly performed.